Alors que le manque de nombreux médicaments persiste sur le marché, les différents acteurs du secteur s’enlisent dans une guerre des chiffres
Pour le président de l’Association des distributeurs algériens en pharmacie (Adpha), le Dr Abderrahmane Benberou, la situation n’est pas aussi alarmante. Il a d’ailleurs contesté les chiffres avancés par le Snapo. “Il importe de savoir aujourd’hui que beaucoup de choses se sont améliorées en matière de disponibilité de médicaments très demandés. Je vous cite, à titre d’illustration, le Lovenox qui sera disponible, puisque le ministère de l’Industrie pharmaceutique vient de signer un programme de 2 millions de boîtes indique le quotidien Liberté .
“On est à 90 produits manquants”
Par conséquent, le nombre de médicaments manquants va encore baisser”, a rassuré, hier, Abderrahmane Benberou, président de l’Adpha. Et de poursuivre : “Maintenant, on est à 90 produits manquants, alors que dans le communiqué qu’on avait diffusé en fin du mois de novembre, on avait évoqué le chiffre d’une centaine au plus. Entre-temps, il y a certains produits qui ont commencé à rentrer.”
On a l’impression qu’on ne vit pas dans le même pays.
Les chiffres clés parlent de 300!!!
et ADPH parle de 90.
L’écart est important.
Qui doit arbitrer toute cette situation ?
et remettre de l’ordre dans ce genre de cacophonie.
Je suis désolé, maïs on est convaincue que la situation n’est pas du tout maîtrisée.